Par
l’auteur des romans policiers « Le chuchoteur » et « Le tribunal
des âmes »
Parution aux
éditions Calmann Lévy en Octobre 2014
Parution aux
éditions Livre de Poche le 16 septembre 2015
Traduit par Anaïs
Bokobza
Seuls deux
sentiments font battre le cœur : l’amour et la peur.
La nuit du 14 au
15 avril 1912, alors que le Titanic coulait au beau milieu de son voyage
inaugural, un des passagers descendit à sa cabine de première classe, revêtit
un smoking, et remonta sur le pont. Au lieu de chercher à sauver sa peau, il
alluma un cigare et attendit la mort.
Le 14 avril 1916
au soir dans les tranchées du mont Fumo, quatre ans jour pour jour après le
naufrage du Titanic, un soldat italien est fait prisonnier. À moins qu’il ne
révèle son nom et son grade, le soldat sera fusillé le lendemain à l’aube. Un
médecin dénommé Roumann n’a qu’une nuit pour le faire parler.
Débute le récit du
prisonnier dont la vie repose désormais sur trois questions : Qui est-il ? Qui
est Guzman ? Et qui était l’homme qui fumait sur le Titanic ? Cette nuit-là, le
docteur Roumann entendra une vérité cachée dans l’abîme d’une légende,
découvrira l’existence d’un héros improbable et de son obsession, et deviendra
le dépositaire d’une histoire qui a traversé le temps et défié la mort.
Donato Carrisi,
auteur internationalement reconnu pour ses thrillers, surprend avec ce roman
onirique qu’il nous conte avec brio, confirmant ainsi son statut de narrateur
contemporain incontournable. On y retrouve aussi bien la maîtrise parfaite du
suspense que l’acuité avec laquelle il décrit les histoires d’amour.
Mon avis:
Un roman inclassable aux paragraphes courts , une histoire originale remplie de poésie dans un style fluide.Des personnages de femmes sensuelles et mystérieuses, des aventurières.Un roman qui s'emboite comme des poupées russes , Shéhérazade veille.
Tout ce que j'aime.
un extrait:
"Les sous-vêtements féminins étaient un univers d'odeurs inavouables, sauvages où laisser se promener son imagination, les yeux fermés. Il avait accès à la composante animale de l'humain. Il pouvait donner libre cours à ses fantasmes adolescents, imaginant des étreintes et des caresses secrètes.
Il expérimentait le plaisir obscur de pêcher par l'odorat."
"Les sous-vêtements féminins étaient un univers d'odeurs inavouables, sauvages où laisser se promener son imagination, les yeux fermés. Il avait accès à la composante animale de l'humain. Il pouvait donner libre cours à ses fantasmes adolescents, imaginant des étreintes et des caresses secrètes.
Il expérimentait le plaisir obscur de pêcher par l'odorat."
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